La chambre d'Amélia

- Tu pourrais charmer n'importe qui avec une simple queue de cheval, alors j'ose pas imaginer avec une coiffure aussi bien réussie! Mais j'ignore pourquoi tu t'es peignée avant même de t'habiller, tu va devoir faire attention en changeant ton linge pour ne pas te décoiffer.

Chloe sorti donc l'ensemble rouge tel que demandé par Amélia. Une robe longue sans manches d'un rouge vif, de longs gants assortis (jusqu'au coudes) et un ruban noir pour faire une boucle dans le dos a la hauteur de la taille. Chloe se releva, puis regarda autour d'elle.

- Tu n'aurais pas un collier de perles noires, ca t'irait bien vu que tu en a déja dans les cheveux, et aussi des bottes, noires de préférences. La longueur n'as pas trop d'importance avec une robe de cette longueur on ne remarquera pas grand chose.

- Commence te changer ensuite je pourrai te dire comment tu est! Quoi que je doute que ca soit laid, avec cette robe tu sera sans doute suffisamment attirante pour obtenir ce que ton coeur désire.

Chloe prit les gants, puis la robe et lui tendit le tout pour qu'elle se change.

Chloe ne pu s'empêcher de rire un peu a la question d'Amélia.

- Suffisamment pour t'aider a l'obtenir, mais pas assez pour te dire si cet homme te convient!

Chloe prit le ruban dans ses mains et une fois Amélia devant elle, elle prit quelques secondes pour observer et faire le tour, s'arrêtant derrière Amélia pour y apporter la touche finale en passant le ruban autour de sa taille, avec un grand noeux dans le dos. Puis elle se releva, passant sa tête a coté de celle d'Amélia et prenant une voix un peu plus sexy.

- Tu sais que tu me donne presque envie de laisser tomber Tomas...

Elle éclata soudainement de rire, visiblement elle n'était pas sérieuse du tout en disant cela et incapable de continuer sa phrase. Mais elle avait toutefois révélé un nom très familier qui semblait l'intéresser.

Chloe reprit son souffle avant de répondre a Amélia, prenant des airs de séductrice pour lui répondre.

- C'est vrai, mais de l'autre coté il semble prêt a tout pour moi, je peux bien profiter de sa présence pour me satisfaire un peu, non? Au moins jusqu'a ce que je reparte, le temps va me paraitre long si je suis seule dans mon lit... tu comprends?

Chloe affichait un petit sourire malicieux, elle qui ne voulait pas de mal a Tomas, mais qui n'hésiterait pas un instant pour occuper ses nuits le temps de sa visite.

- T'inquiètes, il va peut-être s'ennuyer de moi, mais je devrais pas partir trop longtemps.

Chloe fut un peu surprise par le baiser d'Amélia, alimentant encore l'idée de laisser tomber Tomas pour quelques secondes, mais elle se souvint rapidement que Amélia s'en allait rencontre un homme qu'elle voulait séduire, alors autant ne pas trop se faire d'illusions, il lui reste toujours Tomas.

- Pourquoi se compliquer la vie a prendre ta chambre, ou la chambre 13, quand je peux facilement m'installer dans celle de Tomas?

- Tout simplement parce qu'il n'est pas certain qu'il va vouloir de toi... Il faisait les yeux doux à Haléra ce matin... Mais bon, c'est un grand timide, les choses ne devrais pas être allées beaucoup plus loin en si peu de temps.

Sur ce, elle quitta la pièce, laissant Chloé décider de ce qu'elle allait faire.

Entrant dans sa chambre, Amélia fut heureuse de constater que Chloé ne l'avait pas attendue et qu'elle était partie s'amuser... Amélia espérait que Tomas ne serait pas trop traumatisé par son amie de toujours.

- Et voilà... j'ai emménagé ici depuis que je suis devenue propriétaire... Ça te plait?

Son regard allait de Ludwig au grand lit à baldaquin qui trônait dans la pièce.

"C'est parfait... tout comme toi..."

Il ramasa la serviette qui tenait le pendantif, et la tira plus loin sur une chaise Il l'embrassa dans le cou et monta aux lèvres très rapidement. Il enleva ensuite son veston qu'il laissa s'affaiser tranquilement sur le sol.

"À l'exception de cette auberge, qu'as tu fais en deux ans?"

Dit-il tout en la caressant.

Il aimait les caresses de ses mains et elle le savait. Il détacha lentement l'attache dans le cou de Amélia et laissa glisser lentement la robe de la belle aubergiste. Il l'embrassa amoureusement sur les lèvres et descendit lentement dans le cou puis vers la poitrine à mesure que la robe descendait les courbes de la jeune dame. Les deux jeunes gensse retrouvèrent maintenant complètement nus.

Si quelqu'un les aurait observé, on aurait dit un couple qui se connissait depuis très longtemps. Il se conaissait de puisplus de dix ans,et il avait fait l'amour ensemble pour la première fois la journée où Ludwig avait eut ses vingt ans. Elle s'était donné en cadeau à lui.

Mais aujourd'hui c'était spéciale. Il se revoyait après deux ans d'absence. Ludwig s'était ennuyé de son amie, et il lui démontrait très bien. Ses baisers étaient beaucoup plus long qu'à l'habitude, ses caresses plus généreuses et les préliminaires plus longues. Avantil l'aurait poussée sur le lit et l'aurait baiser immédiatement, mais aujoud'hui, il voulait lui montrer que pour luielle était plus quesimplement son amie de baise préférée, il voulait lui montré qu'il l'aimait, elle. Ces deux ans avait été longues. Mais il ne s'enétait que rendu compte que lorsqu'il l'avait revue, devant lui dans la partie restaurant de l'auberge.

"Amélia... tu es magnifique... "

Il lui aggrippa les fesses et la souleva de terre et la transporta jusqu'au lit où il la déposa lentement avant de lui embrasser le ventre et de monter doucement jusqu'à la poitrine, où il mordilla le bouts des mamelons d'Amélia avant de remonter ses baisers aux lèvres et de commencer la pénétration lentement tout en lui caressant les seins.

Il l'écouta et se laissa caresser, puis embrasser. Habituellement avec lui, elle aimait qu'il ait vite. Mais il comprit qu'elle aimerait plus de passion que d'action pour cette fois; après deux ans... lui aussi aimait sa présence. Ses caresses le fit frémir. Il s'échangèrent de caresses pendant un bon moment.

"Amélia... du nombre de femmes que j'ai rencontrées...tu es l seule que j'aime... et au lit... tu es la meilleure."

Il l'emrassa fougueusement, la caressant généreusement.

Il restait à coté d'elle, la regardant, lui caressant le ventre jusqu'au centre de sa poitrine. Il l'a dévorait du regard.

"Tu veux savoir mon projet mon amour... j'avais pensé... tu aimerais que l'on soit stable? je veux dire... serais-tu prète à rester avec le même homme pour jusqu'à ce que la mort te sépare de lui?"

La question prit Amélia par surprise.

- Heu... Tu parles de toi la?

Elle le regardait intensément, cherchant a voir s'il n'essayait pas de lui monter un bâteau.

- Toi, serait-tu prêt a arrêter de voyager pour rester auprès de la même femme toute ta vie durant?

Spontanément, elle avait envie de lui dire oui... surtout lorsqu'elle voyait la façon dont il la regardait. Mais une partie d'elle même voulait a tout pris s'assurer qu'il était sérieux.

"Bien sur que oui je parle de moi. Si tume dit que toi aussi tu serais prète à rester près de moi... mais nous pouvons nousdonner un délai si tu y tiens... "

Il l'embrassa.

"Depuis que je suis revenu... que je t'ai revu... j'avais oublier jusqu'à quel point tu me manquais lorsque j'était loin de toi. Et...ici...je pourrais toujours reprendre l'entreprise de mes parents... et toi tu as l'auberge... on devrait s'en tirer pas si mal"

"Je le suis...là... maintenant... je t'offre de devenirsérieux, que toi et moi on devienne sérieux l'un envers l'autre... plusde liberinerie... plus de couchageà gauche et àdroite... que nous devenions un couple fidèle. Si tu acceptes de devenir ma femme, je n'en baiseraiplus aucune, à moins que tu me proposes toimoiet une autre femme... mais bon..."

Elle pouvait lire la vérité dans ses yeux. Il était sincère Il sacrifierait une femme par soir simplment pour la stabilité d'Amélia.

"Je vais tenir ma promesse. Je n'ai qu'une parole tu le sais."

Il continua ses tendres caresses et ses petits bécotements.

"Et toi? tu va tenir ta promesse?... ah et puis ne réponds pas... je te fais confiance. Je sais que tu ne le feras pas."

Il commença à lui jouer dans les cheveux.

"Tu sais... je pense j'ai toujours ml chercher... je cherchais la femme idéale et... tu étais toujours là... comment n'ai-je pas pu m'en rendre compte avant..."